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Le programme
- Stefano Landi
La Morte d’Orfeo
Tragi-comédie pastorale en cinq actes
Entre les premières mises en musique du mythe d’Orphée par Peri et Monteverdi et la spectaculaire réalisation en style romain par Luigi Rossi, se trouve La Morte d’Orfeo de Stefano Landi.
La Morte d’Orfeo est un ouvrage de jeunesse. Nous ne connaissons pas dans quelles circonstances, l’œuvre, dédicacée en 1619 à Alessandro Mattei, familier du Pape Paul V (Borghèse) à Padoue, a pu être représentée. De même, l’auteur du livret reste inconnu, il se peut que ce soit Landi lui-même. Mais on ne peut que constater d’importantes innovations ignorées de ses prédécesseurs : Landi introduit dans son opéra des éléments comiques ainsi que d’importantes scènes chorales qui contribuent fortement à l’architecture de l’œuvre. Cela n’empêche nullement les scènes tragiques d’être d’autant plus dramatiques et intenses. Alternent récitatifs et airs strophiques. Tous ces éléments se combinent dans un opéra qui semble le véritable précurseur de l’opéra baroque.
Akadêmia :
13 chanteurs
19 instrumentistes
Articles de presse
Repertoire (06/07)
Repertoire (06/07)
Enregistrement du disque “La morte d’Orfeo” (Zig-Zag Territoires)
“ Françoise Lasserre et son Akademia accomplissent un travail époustouflant. Les pupitres étoffés, les plans sonores incisifs donnent à l’oreille un théâtre d’une présence étonnante où l’on entend aussi naître un très grand Orfeo ”.
Vincent Borel (Repertoire 06/07)
The Guardian (15/06/07
The Guardian (15/06/07
Enregistrement du disque “La morte d’Orfeo” (Zig-Zag Territoires)
“Voici un aperçu fascinant des débuts de l’opéra qui permet de voir au-delà des immenses réalisations d’un Monteverdi.”
Andrew Clements (The Guardian, 15/06/07)
Gramophone (10/07)
Gramophone (10/07)
Enregistrement du disque “La morte d’Orfeo” (Zig-Zag Territoires)
“Grâce à l’excellence globale de l’interprétation, l’entreprise égale bien plus que la somme de ses parties. L’action est entrecoupée de pièces instrumentales par d’autres compositeurs, dont une battalla d’Andrea Falconieri avec des contributions époustouflantes des cornettistes.”
Richard Lawrence (Gramophone, 10/07)